Cécile Plaisance
Après avoir travaillé sur les marchés financiers, Cécile Plaisance se consacre à la photographie avec des questions simples : la difficulté d’être une femme, la tyrannie des religions et la nécessité de rire... Elle se sert pour cela d’emblèmes universels : Barbie et des icônes du cinéma et des podiums. Derrière ces symboles, il y a la force de l’apparence et l’exigence personnelle. Pour Cécile, les religions sont écrites et dictées par l’homme. "Je m’interroge sur la place laissée aux femmes, à leurs désirs. Dans ma dernière série "Fuck the Rules", je pousse clairement mon objectif vers la liberté d’expression jusqu’à ériger la femme en papesse". Ses influences sont nombreuses : Helmut Newton me bouleverse et certaines photos d’Oliviero Toscani m’ont permis d’oser. Son travail est présent dans de nombreuses collections à travers le monde.
Cécile Plaisance
Cécile Plaisance se consacre à la photographie avec des questions simples : la difficulté d’être une femme, la tyrannie des religions et la nécessité de rire.